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Les Monstres d’ici ou voilà la France qui passant en baraque de foire par Vichy

Titre étrange, titre de théâtre de foire, titre provisoire, en cours de changement, peut être pas, il est en tout cas en cours de quelque chose, mais de quoi? va-t-il dériver plus vite que les continents? On ne sait pas trop quoi faire de ce titre – on est bien emmerdé – De la dérive? De quoi parle – t- on , s’agit de la France ou du titre? Une douce dérive pour un pays brutalement coincé dans son passé…une petite dérive douce juste comme ça…musique !

Misère de paysage, fracassé et en miette, poussière de paysage dans l’ensemble français. L’orchestre de ma réalité prend une tangente libidinale qui ne s’explique pas. Ça se transforme et le discours me prend dans les songes mortifères du soleil-brouillard de la clarté éternelle des symboles de cette veille fille vierge vêtue en fleur de lys. Certains monstres se sont réveillés bien tard, mais les principaux étaient déjà là au premier rendez-vous. Des chaînes de votant dégueulent de l’insécurité et de cette liberté précieuse. Je vous assure l’Europe peut se targuer d’être le fleuron de la liberté. Quelqu’un d’autre que moi, rit, mais c’est de moi que vient le son, le chant de l’ironie. Parce que nous vivons dans un monde drôle et amusant. Sans rire, amusant. Les monstres se réveillent, il suffit de dire pour que ça se passe, c’est la magie du discours performatif. Non. – J’invente au moment même où je vous parle, parce que j’ai oublié mon texte. Celui de l’auteur n’était pas tellement intéressant. Regardez-moi, je suis drôle. Je vous conte les monstres d’ici. – Je disais : Non! Ils sont déjà réveillés. Les monstres. En fait, ils n’ont jamais dormi. – Restes éveillé! C’est pas terminé pour toi. Tu es foutu. Foutu ! Tu vas crever, tu entends tu vas crever ! » – Ne pas pouvoir dormir à cause des 10 000 volts qui se propage dans mes veines, je m’imagine fellagha dans une baignoire remplit d’eau glacée avec des paras autour de moi, me livrant un véritable interrogatoire à coup de gégène de 1960 entre Oran et Tamanrasset. Je suis pop dans la torture. Danse, tout électrique, à 10 000 volts de latitude sur le régime de l’infidélité nationale – extrait du texte -

 

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